Cancer du poumon

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Le cancer du poumon est l’un des cancers les plus fréquents. Près de 8 cas sur 10 se développent chez les personnes âgées de plus de 60 ans, habituellement des fumeurs.

Si le cancer du poumon est diagnostiqué à un stade précoce, il y a des chances de guérison.

Comprendre la structure des poumons.

Nous avons deux poumons, un de chaque côté de la poitrine.

L’air passe dans les poumons par la trachée qui se ramifie en plusieurs broches, puis il passe dans des sacs d’air minuscules appelés alvéoles.

L’oxygène de l’air passe dans la circulation sanguine à travers les parois minces de ces alvéoles.

Qu’est-ce qu’un cancer?

Le cancer est une maladie ou les cellules d’un tissu du corps se divisent de façon anarchique en envahissent les tissus voisins. La cellule malade est appelée « cellule cancéreuse ».

Une tumeur maligne est une «conglomérat» de cellules cancéreuses qui continuent à se multiplier, sans aucun contrôle.

Les cellules cancéreuses peuvent se déplacer à d’autres parties du corps (os, poumons, cerveau…etc.) par le sang ou par le lymphe ; constituant des métastases.

Qu’est-ce que le cancer du poumon?

Le cancer du poumon est une maladie causée par la transformation des cellules normales des bronches des poumons en cellules cancéreuses, qui se multiplient anarchiquement, en envahissant tout le poumon. On l’appelle parfois « cancer bronchique ».

Le cancer du poumon est l’un des cancers les plus répandus en France. Avec environ 28.000 nouveaux cas diagnostiqués chaque année, et 25.000 décès annuels.

C’est la première cause de mortalité par cancer chez l’homme, et la deuxième chez la femme après le cancer du sein.

On divise le cancer de poumon en deux types, Primitif (ou le cancer s’est développé a partir des cellules du poumon) et Secondaire (ou les cellules cancéreuses ont atteint le poumon a partir d’un autre cancer dans le corps, par exemple : cancer du sein, cancer du foie…etc.).

Cancers du poumon primitif

Les cellules du cancer du poumon primitif sont issus des cellules du poumon, qui deviennent cancéreuses.

Il existe plusieurs types de cancer primitif du poumon. Les deux types les plus fréquents sont appelés : Cancer à petites cellules (CPC) et Cancer à non petites cellules (NPC).

Les cancers du poumon non à petites cellules comprennent les Carcinomes épidermoïdes (40% des cas), l’Adénocarcinome (40% des cas), et le Carcinome à grandes cellules (10% des cas).

Dans environ 4 cas sur 5 de cancer du poumon, le cancer est de type NPC, donc le type CPC on le trouve seulement dans 20% des cas.

Tous ces types de cancer du poumon proviennent de différentes cellules qui tapissent les voies respiratoires (les bronches). Il y a quelques types plus rares de cancer primitif du poumon qui se forment à partir d’autres types de cellules dans les poumons.

Chaque type de cancer du poumon a des propriétés différentes. Par exemple, le carcinome à petites cellules se développe et se propage (métastase) rapidement.

En revanche, un carcinome épidermoïdes a tendance à croître plus lentement et ne s’étend  aux autres parties du corps qu’après une période de temps.

Cancers du poumon secondaire

Les Cancers du poumon secondaires (ou métastases pulmonaires) sont des tumeurs qui ont atteint le poumon à partir d’un autre cancer dans le corps.

Le poumon est un site fréquent pour les métastases des autres cancers. C’est parce que tout le sang du corps passe par les poumons et peut contenir des cellules tumorales de toute autre partie du corps.

Le cancer du poumon secondaire n’est pas traité dans cet article.

Remarque : Le Mésothéliome est un type de cancer qui touche la plèvre, un tissu qui qui enveloppe les poumons. Strictement parlant, le mésothéliome n’est pas un cancer du poumon.

Quelles sont les causes du cancer du poumon?

Une tumeur cancéreuse commence à partir d’une cellule anormale ou cancéreuse. On pense que quelque chose endommage ou modifie les gènes de cette cellule. Cela la rend anormale et elle commence a se multiplier « sans contrôle ».

On connaît certains facteurs qui augmentent le risque de faire un cancer du poumon :

Le tabagisme.

Le tabagisme est le facteur de risque majeur et il est la principale cause de cancer du poumon.

Les produits chimiques dans la fumée de tabac sont cancérigènes, ces substances peuvent endommager les cellules et conduire à développer un cancer.

Environ 9 cas sur 10 de cancer du poumon sont causés par le tabagisme.

Comparativement aux non-fumeurs, ceux qui fument entre 1-14 cigarettes par jour ont huit fois plus de risques de mourir d’un cancer du poumon. Et ceux qui fument 25 cigarettes ou plus par jour ont 25 fois plus de risques !!.

Le risque de cancer du poumon dépend aussi de la durée de la période de temps durant laquelle une personne a fumé: fumer un paquet de cigarettes par jour pendant 40 ans est plus dangereux que fumer deux paquets par jour pendant 20 ans.

Après quinze ans de l’arrêt du tabac, le risque de cette personne de développer un cancer du poumon est semblable à celui d’un non-fumeur.

Autres facteurs.

  • Les non-fumeurs ont un risque très faible de développer un cancer du poumon.
  • Toutefois, les personnes qui sont régulièrement exposés à la fumée des autres fumeur ont un risque plus important, puisque  se sont des fumeurs passifs.
  • Les gens qui travaillent avec certaines substances telles que les matières radioactives, l’amiante, le nickel et le chrome ont un risque accru, surtout s’ils fument.
  • Les gens qui vivent dans des zones où il existe un haut niveau de rayonnement provenant du radon ont un risque légèrement accru.
  • La pollution atmosphérique est un facteur de risque aussi.
  • Des antécédents familiaux de cancer du poumon chez un parent du premier degré (mère, père, frère, sœur) augmente légèrement le risque d’avoir un cancer du poumon.

 

Quels sont les symptômes du cancer du poumon?

Les symptômes du cancer du poumon peut varier d’une personnes a une autre.

Beaucoup de gens n’ont même pas de symptômes aux stades précoce et le cancer du poumon peut être diagnostiqué quand une radiographie du thorax est effectuée pour une raison différente.

Les premiers symptômes de cancer du poumon peuvent inclure :

  • Une toux persistante.
  • Toux avec rejet de sang (ou Hémoptysie).
  • Légère Douleurs à la poitrine.
  • La fatigue.
  • La perte de poids.
  • L’essoufflement ou une sifflement respiratoire – surtout si une tumeur se développe dans une voie aérienne principale ou elle est partiellement bloquer.

Comme le cancer se développe dans les poumons, les symptômes peuvent s’aggraver et peut inclure:

  • Les mêmes symptômes ci-dessus, mais plus graves.
  • Une pneumonie (infection des poumons) peut se développer dans une partie d’un poumon, «bloquée» par une tumeur en pleine croissance. L’infection souvent ne s’améliore pas avec les antibiotiques usuels.
  • Du liquide peut s’accumuler entre le poumon et la paroi thoracique (épanchement pleural). Cela peut entraîner une aggravation de l’essoufflement.
  • Une tumeur du sommet du poumon peut appuyer sur les nerfs, provocant des douleurs qui descendent au bras, avec faiblesse et picotements dans le bras et surtout dans l’épaule.
  • Gonflement de la face (œdème de la face), si une tumeur presse sur une veine principale.
  • Certaines tumeurs à petites cellules peuvent produire des hormones qui provoquent des symptômes atypique dans d’autres parties du corps (par exemple ; éruption cutanée, gonflement des mains, œdèmes des pieds…etc.).

Si le cancer se propage à d’autres parties du corps, d’autres symptômes peuvent se développer (douleurs osseuses, troubles neurologiques…etc.).

Comment le cancer du poumon est-il diagnostiqué?

Si le médecin soupçonne un cancer du poumon, l’examen a demander en première intention est une radiographie du thorax. Ceci est un examen simple et rapide et peut montrer des changements tels des ombres anormales. Cependant, une radiographie du thorax ne peut pas confirmer le cancer il y a plusieurs autres causes à discuter selon les signes radiologiques. D’autres tests sont donc nécessaires.

Confirmation du diagnostic.

Pour tous les cancers suspectés, le diagnostic est habituellement confirmé par l’obtention d’un petit échantillon ou «biopsie».

Cet échantillon est ensuite examiné au microscope pour rechercher les cellules anormales du cancer.

Le type de cancer peut également être déterminée à partir de l’échantillon. Un ou plusieurs des procédures suivantes peut être fait pour obtenir un échantillon pour le test:

  • Bronchoscopie : c’est la procédure la plus fréquente. Un bronchoscope est un tube mince et flexible. Il est à peu près aussi épais qu’un crayon. Le bronchoscope est passé par le nez, à l’arrière de la gorge, dans la trachée, et vers le bas dans les bronches. Le bronchoscope est muni d’une lampe a fibre optique et souvent d’une camera qui permet au médecin de voire à l’intérieur. Un bronchoscope a un canal latéral par lequel, des instruments spéciaux sont passés. Cela peut être utilisé pour prendre un petit fragment de tissu.
  • Examen des expectorations : Le malade est invité à recueillir ses expectorations (crachats). Les cellules cancéreuses peuvent parfois être vu en regardant des expectorations au microscope, a la recherche des signes d’un cancer du poumon.
  • Biopsie à l’aiguille fine : C’est là qu’un médecin insère une aiguille fine à travers la paroi thoracique afin d’obtenir un petit échantillon de tissu. Une radiographies, ou le plus souvent le scanner, permet de guider le médecin à insérer l’aiguille dans la tumeur suspectée. La peau est engourdie avec un anesthésique local pour rendre le test aussi indolore que possible.
  • Ponction pleurale : En cas d’accumulation de fluide à côté du poumon, qui peut être due à un cancer du poumon, un peu de liquide peut être évacué avec une aiguille fine. Le liquide est ensuite examiné par des cellules cancéreuses.
  • Médiastinoscopie : Elle est utilisée pour faire des ponction des ganglions lymphatiques dans le centre de la poitrine (médiastin), ces ganglion peuvent être envahis par le cancer du poumon. Généralement, réalisée sous anesthésie générale. Un instrument similaire à un bronchoscope est utilisé. Une petite incision est faite dans le cou et l’instrument est inséré à côté de la trachée.
  • La chirurgie thoracoscopique vidéo-assistée. C’est là un instrument similaire à un bronchoscope est introduit par une petite incision dans la paroi thoracique. Cela se fait sous anesthésie générale. Il permet à un médecin de voir les tissus pulmonaires et  faire des biopsies directements.

Évaluation du stade du cancer du poumon.

Si le diagnostic de cancer du poumon est confirmé, d’autres tests peuvent être effectués pour déterminer son étendu.

Par exemple : un scanner, une IRM, une scintigraphie osseuse, un examen par TEP-scan ou d’autres tests.

Cette évaluation est appelée «Staging» du cancer, ou stadification. L’objectif est de savoir:

  • Le degré de développement du cancer du poumon.
  • Si le cancer s’est propagé aux ganglions lymphatiques locaux ou à d’autres parties des poumons.
  • Si le cancer s’est propagé à d’autres régions du corps (métastases).

En découvrant le stade du cancer, il aide les médecins a choisir  les options de traitement les mieux adaptées pour chaque cas.

En plus, ça donne une vue sur le pronostic du cancer du poumon, qui reste malheureusement très mauvais.

Quelles sont les options de traitement pour le cancer du poumon?

Comme tout autre cancer, Les options de traitement qui peuvent être considérées dans le cancer du poumon incluent la chirurgie, la chimiothérapie et la radiothérapie.

Le traitement recommandé pour chaque cas dépend de plusieurs facteurs tels le site de la tumeur primitif dans le poumon, le type de cancer, le stade du cancer (la taille du cancer, s’il y a des métastases) et aussi la santé en général du malade.

Le traitement du cancer du poumon à petites cellules (CPC) et le cancer non à petites cellules (NPC) est très différente.

Dans tous les cas ; une discussion approfondie avec un spécialiste qui connaît le cas, est recommandées. Il sera en mesure de donner les avantages et les inconvénients, le taux de succès probable, les effets secondaires possibles et d’autres détails sur les différentes options de traitement possible.

Les objectifs de traitement :

  • Guérir le cancer. Certains cancers du poumon peuvent être guéries, en particulier si elles sont traitées dans les premiers stades de la maladie. C’est pourquoi le diagnostic précoce est très important.
  • Contrôler le cancer. Si la guérison totale n’est pas possible, et ça dans la majorité des cas, il est souvent possible de limiter la croissance et la propagation du cancer.
  • Soulager les symptômes. Même si la guérison n’est pas possible, les traitements peuvent être utilisés pour réduire la taille du cancer, ce qui peut soulager les symptômes tels que la douleur.

Si un cancer est dans un stade avancé, alors le malade pourra avoir besoin de traitements tels que les suppléments nutritionnels, des antalgiques, une oxygénothérapie, ou d’autres techniques pour aider à rester libre de la douleur ou d’autres symptômes.

La Chirurgie

Une intervention chirurgicale ne peut être une option que si le cancer est à un stade précoce.

La chirurgie consiste souvent de retirer tout ou partie d’un poumon atteint.

Cependant, dans de nombreux cas, le cancer s’est déjà propagé au moment du diagnostic et la chirurgie n’est habituellement pas possible.

La chirurgie est généralement pas offerte pour les personnes présentant un carcinome pulmonaire à petites cellules (CPC).

Ainsi, la chirurgie ne peut pas être une option si l’état de santé général est médiocre. Par exemple, si le malade a d’autres problèmes pulmonaires telles que la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO), qui est également fréquent chez les fumeurs.

Radiothérapie

La radiothérapie est un traitement qui utilise faisceaux du rayons à haute énergie qui sont axés sur le tissu cancéreux. Cela tue les cellules cancéreuses, ou arrête les cellules cancéreuses de se multiplier.

La radiothérapie peut être administré aux personnes présentant un cancer du poumon à petites cellules ou cancer du poumon non a petites cellules.

Elle peut être utilisée en complément de la chirurgie et/ou la chimiothérapie.

La radiothérapie est parfois donné à la tête (connu sous le nom radiothérapie crânienne prophylactique) pour réduire le risque de propagation du cancer au cerveau chez les personnes présentant un cancer du poumon à petites cellules.

Chimiothérapie

La chimiothérapie est un traitement du cancer à l’aide de médicaments anti-cancereux, qui tuent les cellules cancéreuses, ou les empêcher de se multiplier.

La chimiothérapie est généralement le traitement accordé aux personnes atteintes de cancer du poumon à petites cellules.

La chimiothérapie est parfois administrée après la chirurgie pour un cancer du poumon non à petites cellule. Ceci est connu comme «la chimiothérapie adjuvante ».

Le type de chimiothérapie donnée dépend du type de cancer. La chimiothérapie peut également être utilisé pour certaines personnes pour traiter le cancer du poumon qui s’est propagé à d’autres régions du corps.

Autres traitements

L’ablation par radiofréquence est une technique relativement nouvelle qui consiste à insérer une petite sonde dans la tumeur et en utilisant une énergie de radiofréquence pour générer de la chaleur et tuer le tissu tumoral.

Cela se fait habituellement en même temps avec le scanner, ce qui permet de guider la sonde. Elle est plus couramment utilisée chez les patients atteints de cancer du poumon à petites cellules à un stade précoce pour lesquels la chirurgie n’est pas appropriée.

Un nouveau traitement appelé thérapie photodynamique (PDT) utilise du lasers de faible puissance combinée à un médicament sensible à la lumière pour détruire les cellules cancéreuses.

Quel est le pronostic du cancer du poumon ?

Le pronostic est meilleur dans les cas ou le cancer du poumon est diagnostiqué a un stade précoce, avant la propagation.

L’ablation chirurgicale d’une tumeur à un stade précoce peut alors donner une bonne chance de guérison.

Cependant, la plupart des personnes atteintes de cancer du poumon sont diagnostiqués lorsque le cancer est déjà propagé. Dans cette situation, une guérison est peu probable. Toutefois, le traitement peut souvent ralentir la progression du cancer.


Publié initialement le : jeudi 21 avril 2011
A propos de l'auteur

Le Dr. Bouazid Iskandar est un médecin algérien résident en Chirurgie Pédiatrique. Rédacteur sur le site Comment guérir depuis

    • viaud35 22 novembre 2011 à 11 h 34 min

      bonjour à toutes et tous à mon tour je viens vers vous pour essayer de comprendre ce qui m’arrive et en espérant une réponse de quelqu’un.
      voilà en 2001 il ma été découvert lors d’une radio de controle pulmonaire 3 micro-nodules sur le poumon droit
      puis d’autres controles ont été pratiqués avec scanner à l’appui , un c’est mis sur le poumon gauche enfin pour ne pas tout énuméré juin 20011 ont me découvre sur scanner 3 micro-nodules à droite et 6 à gauche.hier donc le 21/11/2011 je suis aller voir un pneumologue il ne ma rien dit de spécial ,pas de consultation hors mis qu’il à regardé le scanner de juin 2011 et ma dit qu’il gardait mes scanners de 2007? 2010 ET 2011réunissait: 1 anapathologiste ,2 radiologues, 3 chirurgiens, mon pneumologue et ses confrères du de l’hopital.est ce que quelqu’un peux m’apporter une réponse je vous remercie par avance

      Répondre
    • Anonyme 8 janvier 2013 à 9 h 56 min

      Un « Dr » qui fait autant de fautes d’orthographe ça fait vraiment tâche,
      rien que passer un correcteur automatique en réduirait grandement le nombre…
      C’est même pire que google translate, on dirait les notices chinoises lol

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    • Anonyme 8 janvier 2013 à 9 h 58 min

      Evitez de vous appeler « Docteur » quand vous êtes simple étudiant, surtout si vous ne précisez pas l’année, en rendant des copies pareilles, je doute que le passage en 2e soit envisageable…

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    • Yves 9 janvier 2013 à 5 h 35 min

      J’ai eu en août 2208 trois micro nodules pulm. du côté droit. Eu des maux de tête pendant 69 jrs. Je me suis bâtu contre un monstre qui voulait m’envahir. J’ai passé 4 scans. J’en ai calcifié 2. Il m’en reste un que je crois qu’il est malin primitif car je le sent presque tjrs ds mon dos que je contrôle par l’alimentation selon le Dr. Richard Béliveau. Lorsque j’arrête de manger selon le régime que je me suis imposé les maux reviennent. Mais je ne suis pas parfait, Je crois que j’en ai un autre du côté droit car dernièrement une douleur et un bouton m’est apparu du côté gauche. J’aimerais aider les autres par mon expérience. Yves

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    • mamie 20 mars 2014 à 5 h 07 min

      Bonjour,
      Mon mari est rentré a l’hopital pour un scanner avec pnction pleurale.Cela c’est mal passé, aprés une mauvaise manipulation, il a fait un pneumothorax. Aujourd’hui, il a le visage qui gonfle de plus en plus ( emphyséme), le médecin ne comprend pas pourquoi.
      Quelqun aurait-il la réponse? Merci pour lui.

      Répondre
    • Dr. A. Farhi 24 mars 2014 à 13 h 33 min

      @mami : parfois les choses se complique et l’emphysème peut apparaitre apres un ponction pleurale. est-ce que le pneumothorax est drainé ?

      Répondre
    • sandrine 5 juillet 2015 à 13 h 08 min

      Bonjour,
      Je cherche une réponse j ai passé un svanner thoracique il y à 4 mois ou l on voit bien sure des traces de mes années tabagique mais ras.maintenant j ai un point ds le dos et le matin une toux seche avec expectoration marron jaunatre .
      Bilan sanguin ras faut il que je repasse un scanner merci de me repondre

      Répondre
    • sandrine 29 juillet 2015 à 16 h 43 min

      Bonjour,

      Mon scanner il y à 5 mois à révèle un micro nodule. Sur le scanner qui date de 3 ans on pouvait le voir mais il à été oublier. Je dois reste sous surveillance maïs il n à pas bouger et sa forme n ai pas mauvaise est ce qu il pourrai augmenter subitement merci de me répondre car je ne dorsais plus très bien depuis que je sais qu il existe .

      Répondre
    • michee 29 mai 2016 à 2 h 48 min

      Bonjour,
      mon pere a un probleme de respiration, il est parti consulte un medecin et on a pu constate que sont poumon gonfle. selo vous les experets que pense vous sur ca a était il enpoisonne ou autre chose car il ne fume pas et il ne bois plus depuis des années, s’il vous plait je besoin de votre aide pour avoir l’idée sur sa santé physique

      Répondre
      • Mirva 30 mai 2016 à 19 h 59 min

        Bonjour,

        Un poumon qui gonfle? le médecin n’a pas précisé la maladie qu’il suspecte? quel examen avez-vous fait et qu’elles sont les résultats?

    • fournie 20 février 2017 à 16 h 40 min

      Bonjour,
      Mon mari est atteint du cancer du poumon déclaré en 2014. En 2011, il a eu un adénocarcinome à la prostate(opération +rayons. Donc depuis 2014, présence de micro nodule sur poumon droit…pas d’opération possible puisque mon mari a subi double pontage . En 2014 Il a subi une grosse chimio (Taxol ET carboplatine)Il y a eu de bons résultats, mais il a du subir 33 séances de rayons…Fin 2015, il a été sous immunothérapie (ca a duré plus de 6 mois…)Courant 2016 il a été décidé d’arreter l’immuno. Il était fatigué. En septembre 2016, une chimio « légèreé lui a été proposé. Il a pu tenir 3 mois. Fin novembre, il était trop fatigué, il avoulu un répit. Mais avant Noêl il a eu une bronchite qui a dégénérée : décompensation cardiaque.urgences. Aujourd’hui il est toujours là ss oxygénothérapie. Le médecin m’a fait comprendre que 2017 serait « très dur » pour moi..En mars il doit refaire un scanner. Mais il sait que la maladie a évolué et ne souhaite plus de traitement lourd. Il en a marre. Moi sa femme et aidante, je me sens impuissante, j’ai la peur tous les jours, les nuits. Je ne sais pas comment se « termine » un cancer à ce stade là…J’ai besoin d’info svp…je suis très inquiete.

      Répondre
    • mohamed 2 novembre 2017 à 12 h 41 min

      Bonjour,

      Il y a une semaine j’ai fait une pneunopati et un epanchement pleural peu abondant aujourd’hui je dois faire un scanner pour voir d’après le pneumologue si je guéri bien.
      J’ai peur que ce scanner sert plutôt à confirmer un cancer du poumon mal vue sur la radio du torax.
      Je suis en panique total je suis un homme de 36 ans

      Répondre